La restauration a pour but de prolonger la vie de l’œuvre en ralentissant les différentes étapes de dégradation. Conformément aux règles de déontologie établies par le code d’éthique de l’E.C.C.O. (European Confederation of Conservator-Restorer’s Organisation), le restaurateur se doit de respecter trois règles fondamentales :
Les progrès permanents des techniques de restauration et le rôle croissant des sciences, le XIXème siècle est marqué par une floraison d’écrits, par la création de laboratoires d’analyse
scientifique.
De la fin des années 1930 à nos jours, l'évolution des techniques , des conceptions et du métier font que les interventions se font de plus en plus discrètes. La conception nouvelle est celle que
l'on pourrait appeler " la médecine douce des œuvres d'art".
ces nouveaux principes de restauration s’appuient sur les idées des théoriciens de cette époque aux conceptions nouvelles : des interventions minimales et la prévention prime sur tout
traitement.